Lessolutions pour LE FRANÇAIS ÉTAIT CINÉASTE, L'ANGLAIS SCULPTEUR de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles. Wordle Mots Croisés Générateur d'Anagrammes Crée des mots avec les lettres que tu as à ta disposition Répondre Classement. Codycross; Définitions du Jour; Les plus recherchés. Grand Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme peintre pour le père, cinéaste pour le fils — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
PeterBogdanovich, le réalisateur et acteur nominé aux Oscars dont les films, les exploits de l'ego et hors caméra ont résumé les excès de personnalité du cinéma hollywoodien des années 1970, est décédé à 82 ans. Sa mort a été annoncée jeudi et rapportée par le magazine Variety. La mère, Herma Bogdanovich, était une juive autrichienne. Son père,
Publié le 31 oct. 1995 à 101M aurice Pialat a soixante-dix ans, dix films à son actif dont une palme d'or controversée à Cannes, Sous le soleil de Satan », et un admirable Van Gogh » et... un tout mignon petit garçon, quatre ans aujourd'hui. Alors Maurice Pialat l'irascible, le peintre parfois cruel d'une réalité peu romantique, le cinéaste de L'Enfance nue » son premier film, autour d'un petit orphelin et du désamour cruel des couples Nous ne vieillirons pas ensemble » a voulu se servir de sa caméra pour réfléchir sur cette nouvelle donne. En prenant pour héros de son nouveau film ce petit garçon lui-même, Antoine Pialat, cabotinant sans frein aucun devant son papa à l'évidence émerveillé. Etonnant, non ? Déconcertant Etonnant, et attendrissant. Mais aussi déconcertant. Et, longtemps, décevant. Dès le prégénérique, c'est Antoine qui mène le jeu, avec son frais babil d'enfant. Brun et vif, drôle souvent, il est partout sur l'écran, à Paris dans la chambre de sa mère, en vacances à l'île Maurice, sur les épaules des uns et des autres, sur le bateau avec un gentil indigène, écopant l'eau avec son seau à pâtés de sable. Autour de lui, ses parents de cinéma, Géraldine Pailhas et Gérard Depardieu, pour la quatrième fois complice-interprète du metteur en scène, ont des problèmes de couple auxquels on ne comprend d'abord pas grand-chose. Depardieu, ici nommé Gérard, roule en grosse moto et fait de gros cadeaux; Sophie, la maman d'Antoine, pleure souvent, et Antoine, confié à une fille au pair sympa ou à une halte-garderie très chic de la rue de Babylone où ses parents se le disputent parfois à la sortie, babille toujours... Où va donc le film, et Pialat ? On le comprend vers la fin. Quand, enfin, l'émotion, bien sûr bridée, Pialat restant le bourru Pialat, jaillit de ce non-scénario. Quand apparaît Le Garçu » mot patois auvergnat pour garçon ». C'est le grand-père d'Antoine. Un vieil homme qui se meurt dans La Gueule ouverte », c'était une vieille femme, et c'était aussi poignant près d'Ambert, devant des bonnes soeurs impuissantes. Drôles de moeurs Antoine ne le sait pas mais ses parents, réunis à son chevet, mesurent alors un peu mieux l'importance des liens familiaux, l'irrévocable fuite du temps, et la nécessité de tenter de ne pas le gâcher. Ils ne vieilliront pas ensemble pour autant mais sauront, semble­t­il, se retrouver suffisamment pour que le petit garçon n'oublie pas son père... et pour que le film trouve, enfin, sa signification. Celle, une fois de plus, d'une très juste radiographie, à partir des situations très personnelles, de nos drôles de moeurs d'aujourd'hui. A noter, outre la présence, dans ce film familial, d'Elisabeth Depardieu qui joue l'ex-femme de Gérard, et de l'agent-attaché de presse de Depardieu, Claude Davy, qui est le garçu » moribond, la première apparition à l'écran, dans le rôle de l'amant de la mère d'Antoine, de... Dominique Rocheteau, célèbre footballeur. Peut-être pas grand comédien, mais tout à fait sympathique. De toute façon, même Depardieu, ici, disparaît derrière le petit Antoine !

Unemuse pour les Renoir, de père en fils Cinéma «Renoir» de Gilles Bourdos éclaire la transmission du génie artistique du peintre au cinéaste. N. C. Publié mardi 8 janvier 2013 à 23:02 Il y a un mystère Renoir, une certaine difficulté à concevoir comment le grand peintre impressionniste Pierre-Auguste avait pu engendrer l’immense cinéaste Jean. Malgré

Pour qui ? Les amoureux d’images d’ quoi ? La Belle Époque à la campagne. Le Musée d’Orsay dresse le portrait d’art d’une dynastie française les Renoir. Le père, Pierre-Auguste, était un célèbre peintre impressionniste, plus porté visage que paysage. Le fils, Jean, l’un des plus grands cinéastes de tous les temps La Grande Illusion et La Règle du jeu entre autres chefs-dœuvre. Une vraie famille en or comme dirait Dechavanne. Créer des ponts motivés entre peinture et cinéma n'est pas si simple, et cette exposition a le mérite de s’y frotter brillamment. On parcourt les chambres du musée comme les couloirs d’une maison où seraient accrochés les tableaux et les photos des uns et des autres. Les extraits de film existent là, à côté des toiles, et nous montrent les héritages. "J’ai passé ma vie à tenter de déterminer l’influence de mon père" disait le réalisateur. Par ce dispositif, on découvre ce qu’il reste de peinture dans le cinéma de Jean. Notamment dans ses Parties de campagnes ou son Déjeuner sur l’herbe, vrai film en couleur qui lui permet de poursuivre son travail de mémoire. On comprend alors les hommages et les résistances. Tout le jeu savoureux des influences. Les thèmes partagés se dessinent ainsi sans forcer. D’un côté, cet amour démesuré pour le corps féminin la première femme du fils était d’ailleurs l’un des modèles du père. De l’autre, le besoin des environnements extérieurs et des gens. Ainsi, la maison familiale dans l’Aube et sa campagne seront les lieux de toutes les expérimentations et formes. Des intimités de chaumière, qui montrent parfaitement comment l’un et l’autre se racontaient, se comprenaient et s’aimaient.

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La théorie du complexe d'Oedipe offre une formule frappante que l'on peut transposer avec un peu d'exagération, on vous l'accorde à l'actualité cannoise. En quelques jours, deux fils de grands cinéastes ont présenté leur film à Cannes. Sauf que le premier a réussi, au fil des réalisations, à faire oublier la comparaison avec le travail de son père pas besoin de faire référence à Michel Audiard pour parler des longs-métrages de Jacques. Le fils a su imposer son style loin de dialogues cultes de son père, resté davantage célèbre pour ses tirades que pour sa mise en scène, Jacques Audiard a d'emblée misé sur les sujets choc le handicap, la prison, l'héroïsme.... Ses plans sont très travaillés, certains de ses montages sont si frappants qu'ils restent gravés dans la mémoire des son cas, on peut dire qu'il a réussi à "tuer le père" et à s'imposer comme un artiste de De rouille et d'os Ce n'est pas encore le cas de Brandon Cronenberg, qui présente son premier long-métrage aujourd'hui, Antiviral. Loin de vouloir échapper à la comparaison avec le travail de son père, le jeune homme propose un film dans la même veine que ceux de David Cronenberg. Comme lui à ses débuts, il mélange expériences scientifiques et horreur, s'offrant même le luxe d'aborder le sujet de la célébrité. Dans Antiviral, il suit un jeune chercheur qui profite d'une nouvelle mode des plus malsaines il accepte d'injecter à ses riches patients les maladies de leurs stars préférées. Un trafic qui va finir par se retourner contre lui le jour où il va par erreur s'injecter le virus d'une célébrité... et être traqué par des fans prêts à tout pour l'attraper. Il n'est pas le seul enfant de cinéaste à avoir choisi comme thème important la célébrité, Sofia Coppola tournant autour du sujet depuis le début de sa carrière. Voilà d'ailleurs un bon exemple de réalisatrice qui est parvenue à se détacher du cinéma de son père. Dès son premier film, Virgin Suicides, elle imposait son goût pour le cinéma contemplatif, mené par des personnages qui s'ennuient. Elle n'a cessé depuis d'imposer cette marque de fabrique, alors que comme tout enfant de cinéaste reconnu, elle était attendue au tournant. Et en choisissant de traiter du sujet de la célébrité en étant la fille d'un grand cinéaste, Sofia augmentait d'autant plus la tentation de comparer son travail à celui de son père. Cette année, à Cannes, on retrouvera un autre fils de, mais hors compétition Alexandre Aja est co-scénariste et producteur du remake de Maniac, le film d'horreur culte des années 80. S'il a confié la réalisation du film à Franck Khalfoun, il est véritablement à l'origine du projet. Là aussi, on peut dire qu'Aja parvient à faire oublier qu'il est le fils d'Alexandre Arcady. Le pseudonyme a dû aider, mais il n'y a pas que ça contrairement à son père, qui a démarré sa carrière en signant un film en grande partie autobiographique, Aja s'est tout de suite tourné vers le cinéma d'horreur, devenant un spécialiste des remakes réussis La colline a des yeux, Piranha 3D.En parlant d’horreur, ce soir, c’est un "père de" qui dévoilera son nouveau film sur la Croisette, hors compétition Dario Argento va présenter son Dracula 3D, en compagnie de Quentin Tarantino, qui viendra rendre hommage au maitre du "Giallo". Reste que le cinéaste a considérablement perdu son "mojo" depuis une dizaine d’année, cumulant les réalisations ratées Card Player, Giallo, qui sortent directement en DVD en France. Pour la jeune génération, sa fille Asia est plus célèbre que lui, du moins en tant qu’actrice. Sa réalisation Le livre de Jérémie n’a pas reçu un grand Dracula 3D, ils sont réunis, comme au bon vieux temps, le père offrant un rôle important à sa fille. Dario ravira-t-il enfin les fans de cinéma d’horreur avec ce film ? Il sera en tout cas soutenu par Asia, qui, au sein de sa carrière éclectique, est souvent revenue tourner sous sa direction. En fait, Asia Argento ne cherche pas à "tuer le père", elle a trouvé un juste milieu elle se replonge régulièrement dans son univers, puis se consacre à des projets plus personnels, où l’on ne ressent pas du tout l’influence de ce saura dans quelques heures, avec les premières critiques d'Antiviral, si Brandon Cronenberg a déjà trouvé son propre style, ou si, comme le pitch de son film le laisse penser, il cherche à s'inscrire dans la continuité du travail de son père. Pour ce cas précis, on pourrait plutôt parler de "reprise de flambeau", David Cronenberg n'ayant pas réalisé de film horrifique depuis des années. Son évolution est d'autant plus marquante au moment où Brandon sort son premier film. Cosmopolis ne s'annonce pas du tout dans la même veine qu' de Cosmopolis Suivez toute l'actu cannoise sur notre dossier spécial avec Orange Cinéday
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Dutch National Archives Dutch National Archives DÉCÈS - Alexandre Astruc est mort. Le cinéaste et écrivain est décédé à l'âge de 92 ans, a-t-on appris ce jeudi 19 mai de ses proches. Père spirituel de la Nouvelle vague, figure du Saint-Germain-des-Prés d'après-guerre et théoricien de la "caméra-stylo", Alexandre Astruc considérait le cinéma comme l'équivalent de la littérature. Il hésitait à se définir comme "un metteur en scène qui aurait écrit des livres ou un écrivain qui aurait réalisé des films". Récompensé par le Prix René-Clair en 1994 pour l'ensemble de son oeuvre cinématographique, Alexandre Astruc est principalement connu comme réalisateur du "Rideau cramoisi", de "La Proie pour l'ombre" ou encore de "La Longue Marche". Il a aussi réalisé des adaptations "Une vie", d'après le roman de Maupassant et "L'Éducation sentimentale", d'après Flaubert et est à l'origine du scénario des "Âmes fortes". 28 septembre - Shimon Peres - Le prix Nobel de la paix et ancien président israélien Shimon Peres est décédé mercredi 28 septembre, deux semaines après un accident vasculaire cérébral, a annoncé son médecin. Avec Shimon Peres disparaît une figure historique, dernier survivant de la génération des pères fondateurs de l'Etat d'Israël et l'un des principaux artisans des accords d'Oslo qui ont jeté les bases d'une autonomie palestinienne dans les années 1990 et lui ont valu le Nobel de la paix. 25 septembre - Arnold Palmer - La légende du golf Arnold Palmer, surnommé "The King" pour avoir fait entrer, avec son imposant palmarès et sa personnalité magnétique, sa discipline dans une autre dimension dans les années 1960, est mort à l'âge de 87 ans. Il est le cinquième joueur le plus titré de l'histoire du circuit PGA avec ses 62 titres. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 septembre - Jean Boissonnat - Le journaliste et essayiste, spécialiste de l'économie, est décédé à l'âge de 87 ans. Cofondateur du magazine économique L'Expansion, puis de L'Entreprise, il est mort des suites d'un AVC accident vasculaire cérébral. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 septembre - Joseph Sitruk - Aussi charismatique qu'intraitable sur l'orthodoxie religieuse, l'ancien grand rabbin de France Joseph Sitruk, guide spirituel de la première communauté juive d'Europe pendant plus de 20 ans, est mort à Paris à l'âge de 71 ans. Victime d'une attaque cérébrale en 2001 et malade depuis plusieurs années, il est décédé à l'hôpital. » Lire notre article complet en cliquant ici 20 septembre - Curtis Hanson - Le réalisateur américain Curtis Hanson, qui avait notamment porté à l'écran " Confidential" de James Ellroy, est mort mardi 20 septembre à 71 ans à son domicile sur les hauteurs de Hollywood, a indiqué la police. Des agents avaient été appelés chez lui et n'ont pu que constater son décès de "causes naturelles". 16 septembre - Edward Albee - Le dramaturge Edward Albee est mort le 16 septembre à l'âge de 88 ans. Il est notamment connu pour être l'auteur de la célèbre pièce de théâtre "Qui a peur de Virginia Woolf?, scène de ménage devenue légendaire. 11 septembre - Alexis Arquette - Symbole de la lutte pour la cause transgenre, l'actrice Alexis Arquette est décédée à 47 ans. Selon TMZ, elle serait morte entourée de sa famille et de ses amis. » Lire notre article complet en cliquant ici 4 septembre - Élisabeth Collot - La doyenne des Français, l'Iséroise Élisabeth Collot, est décédée à Échirolles, près de Grenoble, à l'âge de 113 ans. Née le 21 juin 1903 à Angelot-Blancheville en Haute-Marne, elle s'est "éteinte tranquillement dans son sommeil", a déclaré à l'AFP sa fille Marie-Thérèse Collot. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 septembre - Jean-Christophe Yoccoz - Le mathématicien français Jean-Christophe Yoccoz, connu pour ses travaux sur la théorie des systèmes dynamiques et lauréat de la médaille Fields en 1994, est décédé à l'âge de 59 ans. 2 septembre - Islam Karimov - Le président de l'Ouzbékistan, âgé de 78 ans, est décédé des suites d'une hémorragie cérébrale. » Lire notre article complet en cliquant ici 2 septembre - Jerry Heller - L'ancien producteur est décédé à Thousand Oaks Californie des suites d'une attaque cardiaque. Agé de 75 ans, il est connu pour avoir été le manager de le groupe à l'affiche du film à succès Straight Outta Compton, ainsi que de l'un des leaders de la formation californienne, Eazy-E. » Lire notre article complet en cliquant ici 30 août - Marc Riboud - Marc Riboud est mort à l'âge de 93 ans. Avec La Fille à la fleur, celui qui est considéré comme l'un des plus grands photographe de presse, laisse derrière lui l'un des plus célèbre hymne à la paix. Prise le 21 octobre 1967 à Washington, sa photographie immortalise une jeune militante contre la guerre au Vietnam devant le Pentagone. Alors que la nuit tombe et que les manifestants pacifistes rentrent chez eux, Jane Rose Kasmir s'approche des soldats américains, et oppose à leurs baïonnettes une simple fleur. » Lire notre article complet en cliquant ici 29 août - Gene Wilder - L'acteur américain Gene Wilder, inoubliable interprète de "Willy Wonka" et pilier des comédies débridées de Mel Brooks, est décédé lundi 29 août à l'âge de 83 ans. Gene Wilder, dont le nez proéminent et la chevelure bouclée abondante rendaient son visage reconnaissable entre tous, est décédé des suites de la maladie d'Alzheimer à Stamford dans le Connecticut. 25 août - Sonia Rykiel - Sonia Rykiel, un très grand nom de la mode, est morte à l'âge de 86 ans. "Ma mère est décédée cette nuit à Paris, chez elle, à 5 heures du matin, des suites de la maladie de Parkinson", avait déclaré ce 25 août sa fille Nathalie Rykiel, elle aussi femme de mode. » Lire notre article complet en cliquant ici 24 août - Michel Butor - Le romancier Michel Butor est mort à l'âge de 89 ans. Il était connu pour son roman La Modification 1957, ouvrage majeur du Nouveau roman, ainsi que pour la part de son œuvre consacrée aux livres d'art. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 août - Toots Thielemans - Considéré comme le roi mondial de l'harmonica, le musicien belge Toots Thielemans est décédé à 94 ans, après une longue carrière internationale au cours de laquelle il a joué aux côtés des plus grands noms du jazz. Il est mort "dans son sommeil", un mois après avoir été hospitalisé à cause d'une chute. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 août - Jacqueline Pagnol, première "Manon des sources" - L'actrice Jacqueline Pagnol, épouse et muse de l'écrivain, et première Manon des Sources en 1952, est décédée à l'âge de 95 ans à Paris. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 août - Jack Riley, le père des "Razmoket" - L'acteur américain, qui prêtait sa voix au père de famille du dessin animé Les Razmoket, est mort à Los Angeles à l'âge de 80 ans. Le comédien, qui faisait régulièrement des apparitions dans des talks shows américains à succès, avait aussi joué dans certains films de Robert Altman, comme Le privé en 1973 ou Les Flambeurs en 1974. » Lire notre article complet en cliquant ici 18 aout - Jérôme Monod - Jérôme Monod, ancien patron de Suez-Lyonnaise des Eaux et très proche collaborateur et ami de Jacques Chirac, est décédé à l'âge de 85 ans dans sa propriété de Lourmarin dans le Vaucluse. » Lire notre article complet en cliquant ici 17 août - Maurice Opinel - Le président de la société familiale Opinel, artisan de la modernisation de l'entreprise, est décédé à l'âge de 88 ans. Petit-fils du fondateur, Maurice Opinel présidait le conseil d'administration de l'entreprise depuis septembre 1974. Il a été très actif pour protéger sa marque par des dépôts de brevets et pour lutter contre la contre-façon. 16 août - Joao Havelange - Le Brésilien Joao Havelange, ex-président de la Fifa, est décédé à l'âge de 100 ans. Né le 8 mai 1916 à Rio dans un milieu aisé, de parents belges qui avaient fui les horreurs de la première guerre mondiale, Jean-Marie Joao Faustin Godefroid Havelange était devenu en 1974 le premier non-Européen à être élu à la présidence de la Fifa. » Lire notre article complet en cliquant ici 15 août - Solange Fasquelle - La romancière française, auteure de "L'Air de Venise", prix des Deux-Magots 1967, et membre du jury du Prix Femina, est décédée à Paris à l'âge de 83 ans des suites d'une maladie. Son roman "Le Trio infernal", paru en 1972, avait été adapté au cinéma par Francis Girod et interprété par Michel Piccoli et Romy Schneider. 14 août - Georges Séguy - Georges Séguy, qui a dirigé la CGT de 1967 à 1982, est décédé à l'âge de 89 ans à l'hôpital de Montargis dans le Loiret, des suites d'une "maladie". » Lire notre article complet en cliquant ici 13 août - Kenny Baker, le R2-D2 de "Star Wars" - L'acteur britannique célèbre pour avoir incarné le petit robot R2-D2 dans le film La Guerre des étoiles, est mort à l'âge de 81 ans. Kenny Baker, qui mesurait à peine plus d'un mètre, souffrait depuis un certain temps de problèmes pulmonaires, selon sa famille. » Lire notre article complet en cliquant ici 13 août - Michel Richard - Le chef français Michel Richard est mort samedi à Washington, la capitale des Etats-Unis où il fait figure de pionnier de la scène culinaire en mélangeant saveurs et goûts américains et français dans plusieurs restaurants à succès. Né en 1948 en Bretagne, Richard est décédé samedi matin à l'âge de 68 ans dans un hôpital de Washington des suites d'une attaque cérébrale, selon son porte-parole Mel Davis cité par le Washington Post. » Lire notre article complet en cliquant ici 13 août - Françoise Mallet-Joris - Françoise Mallet-Joris, l'auteur du Rempart des Béguines, est morte à l'âge de 86 ans. La romancière franco-belge, qui avait reçu le Prix Fémina pour L'empire céleste en 1958, était membre de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique depuis 1993. » Lire notre article complet en cliquant ici 4 août - David Huddleston - L'acteur américain, qui a notamment incarné le "Big Lebowski" dans le film éponyme des frères Coen, est décédé à l'âge de 85 ans dans la ville de Santa Fe, a indiqué jeudi 4 août son épouse au Los Angeles Times. Il avait joué dans de nombreuses séries télévisées. Sur grand écran, il était apparu dans "Le shérif est en prison"1974 de Mel Brooks ou encore "Santa Claus The movie". » Lire notre article complet en cliquant ici 2 août - Ahmed Zoweil - Le chercheur égyptien Ahmed Zoweil, lauréat du prix Nobel de chimie en 1999, est décédé à 70 ans aux Etats-Unis où il enseignait. Ahmed Zoweil, qui possédait également la nationalité américaine, était professeur à l’Institut de technologie de Californie. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 juillet - Denis Dubourdieu - L'œnologue, chercheur, vigneron et propriétaire de châteaux bordelais Denis Dubourdieu, fondateur-directeur de l'Institut des sciences de la vigne et du vin, dont les travaux de recherche dans les années 80 inspirent la viticulture contemporaine, est décédé le 25 juillet à l'âge de 67 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 21 juillet - Luc Hoffmann - L'ornithologue suisse Luc Hoffmann, grand défenseur de l'environnement et co-fondateur du Fonds mondial pour la nature WWF, est décédé jeudi 21 juillet à l'âge de 93 ans en Camargue, région dont il a été un grand mécène. La Tour du Valat, centre de recherches qu'il a fondé, l'a annoncé vendredi 22 juillet. » Lire notre article complet en cliquant ici. 19 juillet - Garry Marshall - Il était l'auteur de films et sitcoms dont vous vous souvenez très certainement. Garry Marshall est mort mardi 19 juillet des complications d'une pneumonie, à la suite d'une attaque à l'hôpital dans la banlieue de Burbank près de Los Angeles, a confirmé son attaché de presse. Il avait 81 ans et une belle carrière derrière lui. 'Pretty Woman", "Happy Days", "Laverne and Shirley" ou encore "The Odd Couple", Garry Marshall laisse derrière lui un grand vide sur le grand comme le petit écran. Il a su faire rire bien des téléspectateurs avec ses sitcoms à succès dans les années 70. » Lire notre article complet en cliquant ici. 18 juillet - Matilda Rapaport - La championne suédoise de ski freeride est morte à 30 ans après avoir été emportée par une avalanche lors d'un tournage publicitaire au Chili. » Lire notre article complet en cliquant ici. 17 juillet - Raymonde Tillon-Nédelec - La résistante communiste Raymonde Tillon-Nédelecest décédée à l'âge de 100 ans, a annoncé dimanche 17 juillet l'Elysée, François Hollande saluant cette "femme engagée" qui était "la dernière survivante" des 33 premières femmes élues députées en 1945. Selon un communiqué de l'Elysée, le président de la République a salué "le parcours exemplaire de cette femme", députée communiste des Bouches-du-Rhône de 1945 à 1951 qui s’était "engagée très jeune dans l’action syndicale et politique", et était "la dernière survivante des 33 femmes élues à la première Assemblée Constituante de la IVe République". » Lire notre article complet en cliquant ici. 4 juillet - Abbas Kiarostami - Le réalisateur iranien Abbas Kiarostami est mort à 76 ans des suites d'un cancer, a-t-on appris lundi 4 juillet. Celui qui avait remporté la Palme d'Or à Cannes en 1997 avec "Le Goût de la cerise" est décédé en France alors qu'il y était venu pour recevoir des soins, a rapporté le Guardian. » Lire notre article complet en cliquant ici. 14 juillet - Les victimes de l'attentat de Nice - Niçois, familles étrangères en vacances, dix enfants et adolescents 84 vies ont été fauchées le 14 juillet lors de l'attentat de Nice, qui a aussi fait 331 blessés. Trente-huit victimes viennent de 19 pays Algérie, Allemagne, Arménie, Belgique, Brésil, Estonie, Etats-Unis, Géorgie, Italie, Kazakhstan, Madagascar, Maroc, Pologne, Roumanie, Russie, Suisse, Tunisie, Turquie et Ukraine, a par ailleurs précisé le ministère des Affaires étrangères français. Dans notre article, vous pourrez retrouver la liste de ces personnes décédées, établie sur la base d'informations parues sur les réseaux sociaux et de confirmations de membres de leurs familles, de proches, d'élus locaux ou de sources diplomatiques des pays d'origine des victimes. 2 juillet - Roger Dumas - Roger Dumas, acteur connu pour ses seconds rôles au cinéma dans des films comme "L'homme de Rio", "Pouic-Pouic" ou "Les Visiteurs 2", mais aussi habitué des planches et parolier pour Sylvie Vartan ou Chantal Goya, est décédé à Paris à l'âge de 84 ans, a annoncé son agent à l'AFP. "Il avait débuté sa carrière avec Jean Gabin dans 'Rue des prairies' et l'a terminée avec le grand succès de 'L'étudiante et Monsieur Henri' au théâtre. Il a tourné avec beaucoup de gens, et il a écrit des tubes pour Chantal Goya ou Sylvie Vartan. C'était un personnage étonnamment gentil, sympathique", a ajouté l'agent. » Lire notre article complet en cliquant ici. 2 juillet - Michael Cimino - Le réalisateur de "Voyage au bout de l'enfer", "La Porte du paradis", "L'Année du dragon" ou encore "Le Sicilien", est mort à l'âge de 77 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici. 2 juillet - Elie Wiesel - Le prix Nobel de la paix et survivant de la Shoah, Elie Wiesel, est mort à l'âge de 87 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 2 juillet - Michel Rocard - Le Premier ministre de François Mitterrand entre 1988 et 1991 s'est éteint à l'âge de 85 ans, dans un hôpital parisien. Michel Rocard avait été le symbole de la gauche réformiste. » Lire notre article complet en cliquant ici 1er juillet - Yves Bonnefoy - Yves Bonnefoy, le plus célèbre poète français contemporain, également critique d'art et traducteur, est mort vendredi 1er juillet à l'âge de 93 ans. Auteur de plus de 100 livres, traduit en une trentaine de langues, cité plusieurs fois pour le Nobel, il a été lauréat en France du Grand prix de poésie 1981 de l'Académie, du Goncourt 1987 de la poésie et a remporté le prix mondial Cino del Duca 1995. » Lire notre article complet en cliquant ici. 1er juillet - Eudoxie Baboul - La doyenne des Français, la Guyanaise Eudoxie Baboul, est décédée à Cayenne à l'âge de 114 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 juin - Maurice G. Dantec - Le compte des éditions "Le Feu Sacré" a annoncé la mort de Maurice G. Dantec sur Facebook. L'écrivain français naturalisé canadien de science-fiction est décédé à l'âge de 57 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 juin - Bud Spencer - L'acteur italien de western spaghetti Bud Spencer, connu pour ses duos au cinéma avec Terence Hill, est décédé le lundi 27 juin à Rome à l'âge de 86 ans. 25 juin - Bill Cunningham - Le célèbre photographe de mode du New York Times Bill Cunningham est décédé samedi, a annoncé le journal où il travaillait depuis près de 40 ans. Il avait 87 ans. Bill Cunningham, véritable légende vivante de la photographie de mode dans la rue, qu'il a inventée, avait été récemment hospitalisé après avoir subi une attaque, a précisé le quotidien qui a salué en lui un "anthropologue culturel atypique". L'oeil aux aguets, un peu voûté, toujours une veste bleue de balayeur parisien sur le dos, un appareil photo –jusqu'à peu argentique– autour du cou, il avait une passion photographier l'allure. 25 juin - Nicole Courcel - La comédienne Nicole Courcel, mère de l'animatrice Julie Andrieu et vedette de plusieurs séries populaires à la télévision, est décédée samedi soir à l'âge de 84 ans, a-t-on appris auprès de sa fille. "Ma maman est décédée samedi vers 22H00 chez elle", a déclaré Julie Andrieu à l'AFP. "Depuis plusieurs années, elle souffrait d'une maladie cérébrale", a-t-elle ajouté. Nicole Courcel accède à la célébrité en 1949 avec Rendez-vous de juillet, de Jacques Becker. Elle tourne ensuite avec Sacha Guitry dans Si Versailles m'était conté 1953, puis dans une comédie à succès Papa, maman, la bonne et moi 1955. On la retrouvera plus tard dans Les Dimanches de Ville d'Avray 1961, L'Aventure, c'est l'aventure 1972 ou La Gifle de Claude Pinoteau 1974. 20 juin - Edgard Pisani - L'Elysée a annoncé mardi 21 juin la mort d'Edgard Pisani à l'âge de 97 ans. Ministre du général de Gaulle et de François Mitterrand, l'ancien commissaire européen a été salué par François Hollande comme "un esprit visionnaire, un réformateur ardent et un républicain détaché des querelles partisanes". Lire notre article complet ici. 20 juin - Benoîte Groult - La romancière et grande figure du féminisme est morte à 96 ans. Auteure de La Part des choses 1972, La Touche étoile 2006 ou Ainsi soit-elle 1975, journaliste pour Elle ou Marie-Claire, elle a marqué des générations de femmes par son combat pour l'émancipation féminine. Lire notre article complet en cliquant ici. 19 juin - Anton Yelchin - Le jeune acteur américain Anton Yelchin, une des vedettes des nouveaux films de la saga "Star Trek", est mort écrasé par sa propre voiture devant son domicile de Los Angeles. Il avait 27 ans. 15 juin - Ann Morgan Guilbert - L'actrice américaine Ann Morgan Guilbert est décédée mercredi 15 juin à Los Angeles des suites d'un cancer, a confirmé sa fille Nora Eckstein à l'agence Associated Press. Âgée de 87 ans, la comédienne avait débuté sa carrière dans les années 50 et s'était fait remarquer par le public américain dans le Dick Van Dyke Show en jouant le personnage de Millie Helper. Bien des années plus tard, sa renommée a traversé les frontières grâce à la série Une Nounou d'enfer. 10 juin - Christina Grimmie - La chanteuse américaine Christina Grimmie, ancienne participante à l'émission The Voice USA, a été tuée par un homme qui lui a tiré dessus vendredi soir, le 10 juin, alors qu'elle signait des autographes à l'issue d'un concert. Lire notre article complet en cliquant ici. 4 juin - Hervé Baudry - Dessinateur de presse et chroniqueur de l'émission "On va plus loin" sur Public Sénat, Hervé Baudry collaborait avec Rue89 ou Le HuffPost. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 juin - Pierre Grimblat - Le producteur de "Navarro" et "L'Instit" est décédé à Paris à l'âge de 93 ans. Si son nom n'était pas très connu du grand public, Pierre Grimblat a produit quelques-unes des séries les plus célèbres de TF1 et France 2. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 juin - Mohamed Ali - La légende de la boxe est morte à l'âge de 74 ans à Phoenix Arizona, "après un combat de 32 ans contre la maladie de Parkinson", selon les mots de son porte-parole Bob Gunnell. Le triple champion du monde des lourds est resté le plus célèbre boxeur de l'histoire, qu'il a écrite un demi-siècle durant avec ses poings, un verbe acéré et un charisme fou. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 juin - Luis Salom - L'Espagnol Luis Salom, 24 ans, s'est tué vendredi après une chute lors de la deuxième séance d'essais libres de Moto 2 du Grand Prix de Catalogne, qui doit se disputer dimanche sur le circuit de Montmelo. Alors qu'il restait moins d'une demi-heure de session, le pilote de SAG Team a chuté dans le virage 12. Transféré dans un hôpital voisin, il n'a pu être ranimé. 31 mai - Emmanuel Maubert - Le journaliste et animateur âgé de 51 est décédé une quinzaine de jours après son un cardiaque à Cannes, qui avait conduit à son hospitalisation. Il a notamment été chroniqueur dans l'émission "C à vous" sur France 5. » Lire notre article complet en cliquant ici 29 mai - André Rousselet - Figure de l'administration, mais aussi de la politique, du monde des médias et de l'économie en France, André Rousselet est décédé dimanche 29 mai après-midi à son domicile parisien à l'âge de 93 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. Ancien sous-préfet et député, André Rousselet est surtout connu en tant qu'ancien propriétaire de la compagnie de taxis G7, aujourd'hui dirigée par son fils Nicolas Rousselet, et pour avoir fondé la chaîne Canal+ en 1984. Lire notre article complet en cliquant ici. 27 mai - Jean-Claude Decaux - L'inventeur de l'Abribus financé par la publicité et fondateur du groupe d'affichage publicitaire JCDecaux est mort à 78 ans. Autodidacte, il avait fait en cinquante ans du groupe qui porte son nom le numéro un mondial du mobilier urbain et de la publicité dans les transports. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 mai - Alexandre Astruc - Alexandre Astruc est mort. Le cinéaste et écrivain est décédé à l'âge de 92 ans, a-t-on appris ce jeudi 19 mai de ses proches. Père spirituel de la Nouvelle vague, figure du Saint-Germain-des-Prés d'après-guerre et théoricien de la "caméra-stylo", Alexandre Astruc considérait le cinéma comme l'équivalent de la littérature. Il hésitait à se définir comme "un metteur en scène qui aurait écrit des livres ou un écrivain qui aurait réalisé des films". 15 mai - André Brahic - L'astrophysicien André Brahic, découvreur des anneaux de Neptune et infatigable passeur de sciences à l'enthousiasme jamais démenti, est mort dimanche matin à Paris à l'âge de 73 ans. "C'était un personnage éblouissant et hors du commun, extraordinairement chaleureux, profond et authentique, un grand savant et en même temps un conteur, un écrivain", a dit son éditeur Odile Jacob qui était très proche de lui. 6 mai - Patrick Ekeng - Le milieu de terrain camerounais Patrick Ekeng est mort vendredi soir dans la capitale roumaine après un malaise lors d'un match du Championnat de Roumanie, a annoncé son club du Dinamo Bucarest. "Des tentatives de réanimation ont été faites durant une heure et demie sans réussite", a déclaré le médecin de Dinamo Bucarest Liviu Batineanu aux journalistes. Agé de 26 ans, l'international camerounais était entré sur le terrain contre Viitorul Constanta depuis sept minutes au moment où il a chuté soudainement sur le gazon, sans aucun contact préalable avec un autre joueur. 5 mai - Maurice Sinet dit Siné - Le dessinateur et caricaturiste est mort à l'âge de 87 ans des suites d’une opération. Avant de fonder son journal, Siné Mensuel, il avait été une figure historique de Charlie Hebdo. » Lire notre article complet en cliquant ici 2 mai - Hubert Mounier - Le groupe L'Affaire Louis Trio dont il était le leader avait été créé en 1982 à Lyon. Hubert Mounier, connu alors sous le nom de Cleet Boris, l'avait fondé avec son frère Vincent surnommé Karl Niagara, François Lebleu Bronco Junior les avait ensuite rejoins. Bananes et costumes années 50, le groupe égrenait une pop mélangée à des rythmes latins qui faisait mouche. En 1987, il avait remporté la Victoire de la musique de la "révélation variétés masculine" avec son premier album, "Chic Planète". » Lire notre article complet en cliquant ici 1 mai - Didier Bonaventure Deigna dit "Pepito" - Le batteur des Magic System est mort par noyade en Côte d'Ivoire. Âgé de 46 ans, il était aussi le choriste et chef d'orchestre du groupe. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 avril - Momo de Skyrock - L'animateur de Skyrock est mort à l'âge de 31 ans. Grand fan du PSG, il intervenait dans l'émission du soir "Radio libre" de Difool pour parler foot. » Lire notre article complet en cliquant ici 24 avril - Billy Paul - Le chanteur américain, star de la scène soul de Philadelphie, avait connu la gloire en 1972 avec le hit "Me and Mrs. Jones". Il est mort à l'âge de 81 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 24 avril - Papa Wemba - La légende de la musique congolaise est morte à l'âge de 66 ans, après un malaise survenu sur scène à Abidjan où Papa Wemba participait à un festival de musique. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 avril - Isabelle Dinoire - En 2005, elle avait été la première patiente au monde à bénéficier d'une greffe du visage. Onze ans plus tard, la Française Isabelle Dinoire est décédée à l'âge de 49 ans des suites d'une longue maladie. » Lire notre article complet en cliquant ici 21 avril - Prince - Le légendaire chanteur américain Prince, l'un des plus grands musiciens pop de sa génération, est mort à l'âge de 57 ans. 21 avril - Guy Hamilton - Le réalisateur de quatre "James Bond", dont Goldfinger ou encore Vivre et laisser mourir est mort à l'âge de 93 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 avril - Ronit Elkabetz - L'actrice israélienne, ambassadrice du cinéma israélien à l'étranger et notamment en France, est décédée à l'âge de 51 ans des suites d'un cancer. » Lire notre article complet en cliquant ici 17 avril - Doris Roberts - La star de la série télévisée américaine Tout le monde aime Raymond est décédée à 90 ans à Los Angeles. » Lire notre article complet en cliquant ici 15 avril - Anne Grommerch - Après la mort de la députée Sophie Dessus en mars, Anne Grommerch, élue Les Républicains de Moselle depuis 2008 est décédée à l'âge de 45 ans. La maire de Thionville a succombé à une longue maladie. » Lire notre article complet en cliquant ici 14 avril - Laurence Chirac - Laurence Chirac, la fille aînée de Jacques et Bernadette est décédée à l'âge de 58 ans. Contrairement à sa sœur Claude qui s'est beaucoup investie dans la carrière politique de leur père, Laurence Chirac est toujours restée dans l'ombre. Récemment, elle n'était apparue publiquement qu'en 2012 pour un reportage dans Paris-Match à l'occasion des 80 ans de l'ancien président. » Lire notre article complet en cliquant ici 11 avril - Howard Marks - Tour à tour trafiquant de drogue, écrivain, musicien et militant... Howard Marks, plus connu sous le nom de "Mr Nice" est mort à l'âge de 70 ans. L'année dernière, il annonçait souffrir d'un cancer de l'intestin. » Lire notre article complet en cliquant ici 6 avril - Merle Haggard - Le célèbre chanteur de country Merle Haggard, lancé dans la musique après un concert du légendaire Johnny Cash dans une prison californienne, est décédé le jour de son 79e anniversaire au terme d'une carrière de six décennies. 4 avril - Erik Bauersfeld, la voix de l'Amiral Ackbar dans "Star Wars" - L'acteur britannique Erik Bauersfeld est décédé à l'âge de 93 ans. Il avait été la voix de l'Amiral Ackbar dans "Star Wars", derrière la phrase devenue culte –"It's a trap!"– dans Le Retour du Jedi. » Lire notre article complet en cliquant ici 31 mars - Zaha Hadid - L'architecte britannique d'origine irakienne, lauréate du prix Pritzker 2004, le Nobel des architectes, est décédée d'une crise cardiaque dans un hôpital de Miami aux États-Unis. Des États-Unis à la Chine, nombre de ses créations ont marqué l'architecture du monde entier. 31 mars - Imre Kertesz - L'écrivain hongrois Imre Kertesz, auteur d'Être sans destin et lauréat du prix Nobel de littérature en 2002, est décédé à l'âge de 86 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 29 mars - Jean-Pierre Coffe - Le chroniqueur gastronomique Jean-Pierre Coffe, célèbre pour son franc-parler et ses coups de gueule contre la malbouffe, est mort à l'âge de 78 ans, après avoir imposé pendant 30 ans son personnage truculent sur les ondes et sur les écrans. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 mars - Jim Harrison - L'écrivain américain Jim Harrison, auteur de nouvelles et poèmes dont les mélodramatiques Légendes d'automne est décédé à l'âge de 78 ans. Ce grand auteur était connu pour être un bon vivant, passionné de nature. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 mars - Alain Decaux - Écrivain, homme de radio et de télévision, Alain Decaux est décédé à Paris à l'âge de 90 ans. Élu à l'Académie française en 1979, ministre de la Francophonie du gouvernement Rocard 1988-1991, ce grand conteur et vulgarisateur a créé et animé plusieurs émissions devenues cultes. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 mars - Rob Ford - L'ancien maire de Toronto 2010-2014 affrontait depuis 18 mois une forme virulente de cancer des tissus mous et était sous chimiothérapie pour des tumeurs à la vessie. Le souvenir que laissera Rob Ford est celui de son tumultueux mandat à la tête de la plus grande ville du Canada. » Lire notre article complet en cliquant ici 16 mars - Frank Sinatra Junior - Frank Sinatra Junior est mort d'une crise cardiaque à l'âge de 72 ans, durant une tournée dans l'État américain de Floride. Comme son célèbre père mort en 1998, Sinatra Junior a fait carrière dans la musique. » Lire notre article complet en cliquant ici 15 mars - Serge Kampf - L'homme d'affaires est mort à l'âge de 81 ans. Le fondateur de Capgemini était aussi un important mécène du rugby français, lui l'amoureux du ballon ovale. » Lire notre article complet en cliquant ici 9 mars - George Martin - Le producteur de légende des Beatles, surnommé "le cinquième Beatle", est décédé à l'âge de 90 ans, avait annoncé Ringo Starr, l'ancien batteur du groupe musical britannique dont il avait permis le succès planétaire. » Lire notre article complet en cliquant ici 6 mars - Nancy Reagan - L'ancienne Première dame des Etats-Unis, décédée à 94 ans d'une insuffisance cardiaque congestive, avait été admirée ces dernières années pour les qualités qui avaient été vivement critiquées lorsqu'elle a quitté la Maison Blanche surprotégeant Ronald Reagan et exerçant une trop grande influence sur lui. » Lire notre article complet en cliquant ici 5 mars - Ray Tomlinson - Le père du "" et de l'e-mail est décédé le 5 mars d'une crise cardiaque. » Lire notre article complet en cliquant ici 5 mars - Nikolaus Harnoncourt - Le prestigieux chef d'orchestre autrichien Nikolaus Harnoncourt, considéré comme le "pape" du renouveau baroque, est décédé samedi à l'âge de 86 ans, a annoncé dimanche 6 mars sa famille citée par l'agence de presse APA. 3 mars - Sophie Dessus - Députée de Corrèze depuis 2012 elle avait succédé à François Hollande, Sophie Dessus est décédé des suites d'un cancer à l'hôpital de Limoges. Maire d'Uzerche depuis 2001, elle restait associée à Jacques Chirac après qu'une de leur discussion a été immortalisée par les caméras du "Petit Journal" en plein discours de Bernadette Chirac. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 mars- Yves Guéna - Yves Guéna, nommé en 2000 par Jacques Chirac à la présidence du Conseil constitutionnel, est mort jeudi 3 mars matin à l'âge de 93 ans à Paris. Né en 1922, celui qui fut aussi ministre du Travail sous Pompidou a mené toute sa carrière politique sous la bannière du gaullisme. Elu de Dordogne, maire de Périgueux 1971-1997, il a été secrétaire général de l'UDR 1976 et ministre à plusieurs reprises de 1967 à 1974. Etant déjà membre du Conseil lors de sa nomination, son mandat s'est achevé en 2004. 25 février - François Dupeyron - Le cinéaste français, réalisateur de La Chambre des officiers, est décédé à l'âge de 65 ans des suites d'une longue maladie. » Lire notre article complet en cliquant ici 23 février - Valérie Guignabodet - La réalisatrice et scénariste est morte des suites d'une crise cardiaque à l'âge de 48 ans. Valérie Guignabodet était la compagne du journaliste et animateur télé Emmanuel Chain, qu'elle avait épousé en 2013 après dix ans de vie commune. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 février - Umberto Eco - L'écrivain italien, auteur du célèbre roman Le nom de la rose, est décédé à l'âge de 84 ans. Il souffrait depuis plusieurs années d'un cancer. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 février - Harper Lee - La romancière américaine Harper Lee, auteur de "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" prix Pulitzer 1961 qui est resté sa seule oeuvre pendant plus de cinq décennies, est décédée à l'âge 89 ans. Elle avait publié mi-juillet 2015 "Va et poste une sentinelle", la suite de son célèbre best-seller sorti en 1960. 17 février - Andrzej Zulawski - Le cinéaste polonais Andrzej Zulawski, 75 ans, ex-mari de Sophie Marceau, est mort mercredi 17 février, a rapporté Le Figaro. Le réalisateur de "L'important c’est d’aimer", "L’Amour braque" ou "Possession" est décédé des suites d'un cancer. Dans la nuit de mardi à mercredi, la page Facebook dédiée à Andrzej Zulawski citait "le cœur brisé", Xawery Zulawski, fils du cinéaste. Lui-même réalisateur, ce dernier expliquait que son père était "en soins intensifs à l'hôpital", et que la progression de sa maladie ne laissait "aucune illusion" sur son sort. Le décès a été confirmé par l'Association des cinéastes polonais. 16 février - Thérèse Clerc - Militante féministe de la première heure, éprise de liberté, Thérèse Clerc, fondatrice de la Maison des Babayagas, résidence autogérée pour femmes âgées à Montreuil Seine-Saint-Denis, est décédée mardi 16 février à l'âge de 88 ans. Thérèse Clerc était atteinte d'un cancer. Née le 9 décembre 1927, elle avait milité notamment au Mouvement pour la libération de l'avortement et de la contraception MLAC, au Mouvement de la paix ou encore au Parti socialiste unifié PSU. 16 février - Boutros Boutros-Ghali - L'ancien secrétaire général des Nations unies Boutros Boutros-Ghali est mort à l'âge de 93 ans. Le diplomate égyptien avait été le premier Africain à accéder au poste de secrétaire général, une fonction qu'il avait occupée entre 1992 et 1996. 15 février - George Gaynes - George Jongejans alias George Gaynes est mort à l'âge de 98 ans à North Bend Etat de Washington, ont annoncé plusieurs médias mardi 17 février, citant la fille de l'acteur américain. Ce dernier est décédé lundi dans la maison de sa fille. Né à Helsinki Finlande en 1917, George Gaynes ne s'est imposé que tardivement sur le petit et le grand écran. Élevé en France, en Angleterre et en Suisse, selon le New York Times, George Gaynes a étudié l'opéra à Milan et s'est produit en Italie et en France, mais sa carrière a été interrompue par la première guerre mondiale. Il a ensuite rejoint le New York City Opera. 7 février - Juliette Benzoni - Discrète, elle était pourtant l'une des romancières françaises dont les livres se vendaient le mieux. Juliette Benzoni, reine du roman historique, est morte ce week-end à l'âge de 95 ans. "Nous sommes au regret de vous annoncer que malheureusement notre très très chère Juliette, notre auteur tant aimé, nous a quittés ce week-end. Elle s’est éteinte tout doucement dans son sommeil, sa fille Anne à ses côtés", a annoncé lundi 8 février le site officiel de la romancière. 4 février - Maurice White - Le fondateur de Earth, Wind & Fire, le groupe qui a inventé l'afro-jazzfunk cliquez ici pour en savoir plus 4 février - Edgar Mitchell - L'astronaute américain Edgar Mitchell, l'un des rares hommes à avoir jamais marché sur la Lune, est décédé à 85 ans en Floride, a annoncé la Nasa. "L'astronaute Edgar Mitchell, pilote du module lunaire pour Apollo 14, est décédé jeudi dans un hôpital de West Palm Beach, en Floride, à la veille du 45e anniversaire de son atterrissage sur la Lune", écrit l'Agence spatiale américaine dans un communiqué. "Edgar était l'un des douze hommes seulement à avoir marché sur la Lune et il a contribué à changer la perception que nous avons de notre place dans l'univers", a réagi le patron de la Nasa, Charles Bolden, cité dans le communiqué. 4 février - Dave Mirra - La légende du BMX a été retrouvée morte à l'âge de 41 ans. Dave Mirra avait remporté 14 médailles d'or aux X Games. Il était aussi le premier homme a avoir réussi un double backflip sur son vélo lors d'une compétition et détenait le record du monde du plus haut saut sur une rampe en BMX. 31 janvier - Benoît Violier - L'un des plus grands chefs cuisiniers, le Franco-Suisse Benoît Violier, qui à 44 ans dirigeait le Restaurant étoilé de l'Hôtel de Ville de Crissier en Suisse, s'est suicidé, a annoncé dimanche 31 janvier a police, plongeant le monde de la gastronomie dans le deuil. "En fin d'après-midi, la police de l'ouest lausannois est intervenue à Crissier, où elle a découvert, à son domicile, le corps sans vie de M. Benoît Violier, âgé de 44 ans. L'intéressé aurait mis fin à ses jours à l'aide d'une arme à feu", a indiqué la police cantonale vaudoise dans un communiqué. 29 janvier - Jacques Rivette - Jacques Rivette est mort. Le réalisateur français, connu notamment pour les films "La Belle Noiseuse", "Paris nous appartient" et "L'Amour fou", est décédé vendredi 29 janvier à l'âge de 87 ans, ont annoncé Le Monde et Le Figaro. Né à Rouen en 1928, Jacques Rivette fait partie des cinéastes les plus emblématiques de la Nouvelle vague, aux côtés de Jean-Luc Godard ou Éric Rohmer, avec lequel il a fondé la Gazette du cinéma. Il fut aussi rédacteur en chef des Cahiers du cinéma. 28 janvier - Paul Kantner - Paul Kantner, cofondateur et guitariste de Jefferson Airplane, groupe phare de l'ère du rock psychédélique des années 1960, est décédé jeudi 28 janvier à l'âge de 74 ans. Kantner, qui avait notamment joué sur la scène du mythique festival de Woodstock en 1969, est mort des suites d'une crise cardiaque, précise le journal californien, citant son agent de longue date et amie Cynthia Bowman. Avec des titres à succès comme "Somebody to Love" ou "White Rabbit", Jefferson Airplane a écrit plusieurs hymnes du mouvement hippie. Lire notre article complet ici. 26 janvier - Colin Vearncombe - Le chanteur britannique Colin Vearncombe, plus connu sous le nom de Black, est décédé à l'âge de 53 ans. L'artiste, qui est notamment célèbre pour son titre Wonderful Life, était plongé dans le coma depuis un grave accident de voiture survenu le 10 janvier en Irlande. » Lire notre article complet en cliquant ici 20 janvier - Edmonde Charles-Roux - La romancière française, également journaliste et résistante, s'est éteinte à 95 ans dans une maison de convalescence. Veuve de Gaston Defferre, elle avait été présidente de l'Académie Goncourt. Elle reçoit le prix Goncourt en 1966 pour son premier roman, "Oublier Palerme". » Lire notre article complet en cliquant ici. 19 janvier - Ettore Scola - Le réalisateur italien est mort à l'âge de 84 ans cliquez ici pour en savoir plus 18 janvier - Glenn Frey - Glenn Frey, l'un des fondateurs et guitariste du groupe de rock américain Eagles, connu mondialement pour son titre "Hotel California", est décédé lundi 18 janvier, a annoncé le groupe. "C'est avec le cœur lourd que nous annonçons le décès de notre camarade, fondateur des Eagles, Glenn Frey, à New York lundi", a écrit le groupe sur son site web. 18 janvier - Leila Alaoui - La photographe franco-marocaine Leila Alaoui, grièvement blessée dans l'attentat de Ouagadougou, est décédée le 18 janvier. La jeune femme était reconnue dans son milieu professionnel, au Maroc, en France, ainsi qu'au Liban, où elle vivait une partie de l'année. 18 janvier - Michel Tournier - L'écrivain Michel Tournier, l'un des grands auteurs français de la seconde moitié du XXe siècle, Prix Goncourt pour "Le roi des Aulnes" en 1970, est décédé le 18 janvier à l'âge de 91 ans, chez lui à Choisel. 17 janvier - Clarence Reid alias Blowfly - Clarence Reid, le rappeur américain mieux connu sous son nom de scène Blowfly, derrière lequel il scandait des paroles crues, est décédé, a annoncé son agent dimanche. Reid a officié comme auteur pour le label de Miami TK Records, où il écrivait des titres soul et funk dans les années 1960 et 1970 pour des artistes de renom, avant de créer son propre personnage, Blowfly, relate Rolling Stone. Passé au hip-hop en se faisant une spécialité des paroles vulgaires, Blowfly est considéré comme "l'un des premiers rappeurs", selon le magazine. 17 janvier - Gottfried Honegger - Le célèbre peintre et sculpteur suisse Gottfried Honegger est mort 17 janvier à son domicile de Zurich, à l'âge de 98 ans. Né en 1917, Gottfried Honegger a passé son enfance chez ses grands-parents en Engadine canton des Grisons. Après des études à l'Ecole des arts appliqués de Zurich, il a fondé un atelier de graphisme, de décoration et de photographie en 1938. Il s'est fait un nom dans l'organisation d'expositions, dont l'Expo nationale de Zurich en 1939, et a mis également sur pied la première exposition itinérante d'art graphique en Suisse. 14 janvier - Alan Rickman - Alan Rickman est mort. L'acteur britannique de 69 ans, qui a joué dans des films aussi connus que "Harry Potter" où il incarnait le professeur Rogue, "Piège de cristal", "Robin des Bois" ou encore "Love Actually", est décédé des suites d'un cancer. 14 janvier - René Angélil - René Angélil, le mari de la chanteuse canadienne Céline Dion, est mort à l'age de 73 ans, a annoncé son agent jeudi 14 janvier. "René Angélil est décédé ce matin dans sa maison de Las Vegas après un long et courageux combat contre un cancer. La famille demande à ce que son intimité soit respectée" en attendant que davantage de détails soient fournis, a précisé le porte-parole de l’imprésario. 10 janvier - David Bowie - La légende du rock s'est éteinte deux jours après avoir fêté ses 69 ans, deux jours aussi après la sortie de son 25ème et dernier album baptisé "Blackstar". Le chanteur et compositeur, qui a bâti sa carrière sur des réincarnations successives, à travers les personnages de Ziggy Stardust, Aladdin Sane, ou du Thin White Duke, était un touche-à-tout visionnaire qui aura influencé des générations d'artistes. 8 janvier - Maria de Filippis - L'Italienne Maria Teresa de Filippis, qui fut la première femme à piloter une monoplace de Formule 1, est décédée la nuit dernière à l'âge de 89 ans, près de Bergame, a annoncé samedi le Grand Prix Drivers Club GPDC. Née le 11 nov 1926, Mme de Filippis était encore présidente honoraire du GPDC, un club d'anciens pilotes de F1 fondé en 1962 par le Français Louis Chiron et l'Argentin Juan Manuel Fangio, quintuple champion du monde. 7 janvier - André Courrèges - André Courrèges est mort jeudi 7 janvier 2015 à 92 ans. Symbole de la révolution vestimentaire des années 1960, le couturier est décédé à son domicile de Neuilly-sur-Seine. André Courrèges, qui avait cessé ses activités professionnelles dans les années 1990, "s'est éteint après un long combat de plus de trente ans contre la maladie de Parkinson", indique la maison dans un communiqué. La mini-jupe, le vinyle ou encore la petite robe blanche. Les créations de ce grand couturier ont durablement inspiré les podiums et la rue. 6 janvier - Yves Vincent - Le comédien à droite sur la photo connu pour ses seconds rôles au cinéma dans les années 60, de Hibernatus au Gendarme se marie, est décédé à l'âge de 94 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 5 janvier - Pierre Boulez - Le compositeur et chef d'orchestre français Pierre Boulez, 90 ans, figure majeure de la musique contemporaine, est décédé à Baden-Baden, en Allemagne, où il habitait. 4 janvier - Michel Galabru - Acteur comique aux 250 longs-métrages, figure inoubliable des "Gendarmes" où il tenait la vedette au côté de Louis de Funès, Michel Galabru est mort dans son sommeil à l'âge de 93 ans. 2 janvier - Michel Delpech - "Pour un flirt avec toi", "Le Loir-et-Cher"... Le chanteur Michel Delpech s'est éteint le samedi 2 janvier à l'Hôpital de Puteaux Hauts-de-Seine des suites d'un cancer de la gorge samedi à 69 ans. 1er janvier - Natalie Cole - La chanteuse soul américaine Natalie Cole, fille de la légende du jazz Nat "King" Cole et qui dut surmonter la drogue pour trouver sa propre voie, est décédée à l'âge de 65 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 123 28 septembre - Shimon Peres - Le prix Nobel de la paix et ancien président israélien Shimon Peres est décédé mercredi 28 septembre, deux semaines après un accident vasculaire cérébral, a annoncé son médecin. Avec Shimon Peres disparaît une figure historique, dernier survivant de la génération des pères fondateurs de l'Etat d'Israël et l'un des principaux artisans des accords d'Oslo qui ont jeté les bases d'une autonomie palestinienne dans les années 1990 et lui ont valu le Nobel de la paix. Lessolutions pour PEINTRE ET CINÉASTE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles . Wordle Mots Croisés Générateur d'Anagrammes Crée des mots avec les lettres que tu as à ta disposition Répondre Classement. Codycross; Définitions du Jour; Les plus recherchés. Ringard De Boulanger 10
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Afinde le stabiliser, le père laisse son fils à sa propre mère. Problème : le fils va y découvrir que son grand-père était un peintre de talent et va Lire plus. I'm A Rocket Man
Depuis le 20 février et jusqu’au 4 mars la Cinémathèque française montre tous les films de Maurice Pialat. Cette rétrospective est accompagnée d’une exposition qui permet de découvrir les toiles et dessins de Pialat, qui fut peintre avant d’être cinéaste durant la première période artistique de sa vie de 1942 à 1946. Un beau livre, Maurice Pialat peintre et cinéaste éditions Somogy / Cinémathèque française, écrit par Serge Toubiana, porte un regard juste et éclairant sur l’œuvre et la carrière de l’un des plus importants cinéastes français. Tout Pialat c’est immense et pas assez en même temps. On le sait Pialat a signé son premier long métrage tard, à plus de quarante ans, après avoir voulu être peintre et signé des courts métrages pour le cinéma et la télévision. L’Enfance nue 1968 est un film magnifique, l’un des plus justes et le plus déchirant consacré à l’enfance, cet âge où naît l’appréhension au monde et le rapport aux autres, rapport qui sera toujours aussi douloureux et intense dans la vie et l’œuvre de Pialat. L’Enfance nue n’est pas à proprement parler un film autobiographique, mais c’est un incipit qui éclaire tout le travail de Pialat, jusqu’à trouver sa conclusion logique avec son ultime long métrage Le Garçu. Ainsi la vie du cinéaste nourrira sa filmographie d’une manière douloureuse et presque masochiste description d’une relation et d’une rupture Nous ne vieillirons pas ensemble, 1972, mort de la mère La Gueule ouverte, 1974, histoire de désir et d’adultère Loulou, 1980, souvenirs d’adolescence d’Arlette Langmann, scénariste et ancienne compagne de Pialat A nos amours, 1983. Passe ton bac d’abord 1978 chronique désenchantée de la vie de jeunes des milieux populaires dans le Nord de la France, peut paraître moins personnel, moins nécessaire malgré sa réussite. Il est en général moins commenté et cité que les autres films du cinéaste. L’approche sans concessions du cinéma n’a pas empêché Pialat de côtoyer le star system français dès son deuxième film, Nous ne vieillirons pas ensemble. Jean Yanne choisi pour sa ressemblance physique avec le cinéaste et Marlène Jobert acceptent tant bien que mal de travailler dans des conditions beaucoup moins confortables que les productions commerciales dans lesquelles ils ont l’habitude d’apparaître. Huit ans plus tard, Pialat réunit deux jeunes vedettes qui sont aussi et sans conteste les acteurs les plus talentueux de leur génération Isabelle Huppert et Gérard Depardieu. Depardieu et Pialat travaillent pour la première fois ensemble en 1980 avec Loulou, récit autobiographique dans lequel le cinéaste met en scène un épisode douloureux de sa vie. Un homme, André, est trompé par sa compagne, Nelly, qui part vivre avec un petit voyou sympathique, Loulou. Nelly tombera enceinte, se fera avorter et finira par quitter Loulou pour retrouver André. Une histoire simple, dans la lignée de Nous ne vieillirons pas ensemble, qui place une fois de plus la lutte des classes sur le terrain amoureux. André et Nelly appartiennent à un milieu aisé et intellectuel, tandis que Loulou est un chômeur vivant de larcins, un loubard des faubourgs. L’attirance entre Nelly et Loulou est purement sexuelle, elle ne mènera nulle part et se conclura par un échec. Pialat choisit Guy Marchand pour jouer André transposition du cinéaste à l’écran, Isabelle Huppert et Gérard Depardieu, stars montantes du cinéma français, seront Nelly et Loulou. Sur le tournage, ce ne sera pas l’entente cordiale entre Pialat et Depardieu. Le cinéaste malmène l’acteur, lui reproche d’être paresseux, pas assez professionnel. Depardieu donne l’impression de ne pas jouer, d’être vraiment Loulou, avec un naturel qui l’on retrouve chez les comédiens amateurs que Pialat aime fréquemment employer. Heureusement, Depardieu saura pardonner l’agressivité de Pialat qui ne s’épargne rien en consacrant un film à l’amant de la femme qu’il a aimé. Ils se retrouveront pour Police, cinq ans plus tard, et l’admiration entre les deux hommes est désormais totale. Après le couple, la famille. Une fille et son père, une actrice débutante et son réalisateur, également acteur. Sandrine Bonnaire et Maurice Pialat dans A nos amours. Porté par une distribution de vedettes qui sont aussi des champions du box office français Depardieu, Sophie Marceau, Richard Anconina, Police est un film qui désire élargir le public de Maurice Pialat, et qui y parviendra. Ce sera le plus grand succès commercial du cinéaste. Le genre policier est en effet une valeur sûre, régulièrement fréquenté par la plupart des meilleurs auteurs français de Renoir à Melville en passant par les cinéastes de la Nouvelle Vague. Pourtant, on s’en doute, Police de Maurice Pialat n’est pas un polar comme les autres, même s’il en respecte certaines conventions. La première partie est centrée autour de scènes d’interrogatoires, qui montrent la routine, la violence banale du métier de flic et des rapports de force entre suspects et policiers, faits de brutalités et de mensonges. Dans le rôle de Mangin, Depardieu est magnifique. C’est l’une de ses interprétations les plus subtiles. D’abord grossier, sûr de lui, il laisse peu à peu apparaître une complexité insoupçonnable, quand le film s’intéresse à sa vie en dehors du commissariat, et dévoile une fragilité et une solitude bouleversantes son regard dans le dernier plan du film, lorsqu’il a été trahi par Noria, la jeune femme qu’il a eu la faiblesse d’aimer. Sous le soleil de Satan 1987 est le premier film à costumes si l’on excepte le magnifique feuilleton pour la télévision La Maison des bois en 1971, qui est peut-être le meilleur Pialat parce que c’est le plus long et la première adaptation littéraire dans l’œuvre de Maurice Pialat. En décidant de porter à l’écran le roman de Georges Bernanos, Pialat espère peut-être, après les succès publics et critiques de À nos amours et Police accéder à une forme de reconnaissance professionnelle définitive. Au-delà de l’orgueil de l’artiste à dépasser la routine de ses sources d’inspiration l’autobiographie, le réalisme quotidien, le couple, et à se confronter pour la première fois à des domaines étrangers et à hauts risques la reconstitution historique, le sujet religieux, Bernanos, Pialat ne dévie pas de sa quête de la vérité et cherche quelque chose de plus profond que le dépaysement ou l’anoblissement. Ne s’agit-il pas, pour un cinéaste qui a souvent filmé la destruction, la catastrophe et le malheur, sous un angle trivial, de parvenir grâce à une œuvre littéraire majeure à l’origine de ses préoccupations ? Malgré son athéisme, Pialat rejoint Bernanos dans sa vision très noire d’une humanité rongée par la faute et le Mal. Il a déjà enregistré, dans Police, l’histoire d’une chute et un cheminement vers la Grâce. Cinéaste du réel, Pialat prend ici le risque de se mesurer à la transcendance, au sacré, au fantastique, mais aussi à deux cinéastes admirés ils ne sont pas légion Dreyer et Bresson. Sous le soleil de Satan n’emprunte pourtant pas le chemin étroit tracé par Bresson. Pialat élague énormément au montage, songe à ne pas inclure la rencontre de Donissan avec le Diable. Elle est finalement dans le film, sublime, dissonante. Tenté par l’épure, Pialat ne renonce pas pour autant à son comédien d’élection Gérard Depardieu, qui parvient à être crédible, malgré sa personnalité envahissante et ses kilos en trop, en curé de campagne maladif. Comme à son habitude, il filme une star et une actrice de son invention, l’incandescente Sandrine Bonnaire, entourées de comédiens non professionnels ou occasionnels le monteur Yann Dedet, avec des résultats admirables. Il n’y a pas dans Sous le soleil de Satan les petits faits vrais, les paroles vaches ou les digressions narratives qui plaisent tant aux amateurs de naturalisme cinématographique. Le film est constitué de blocs denses, les dialogues comptent parmi les plus beaux – et littéraires – du cinéma français contemporain. Pialat évacue l’anecdotique et cisèle un soleil noir dont le pessimisme radical – celui de Bernanos, le sien – éclaire et écrase les films précédents. Le cinéaste, dans le rôle de Menou-Segret, mentor de Donissan, exprime au travers de son personnage des sentiments intimes, sur la peur de la vieillesse, la méfiance vis-à-vis de la sagesse un vice de vieillard », l’attente terrible de la mort enfin. Sous le soleil de Satan obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1987. Neuvième et avant-dernier long métrage de Maurice Pialat, Van Gogh 1991 ressemble au film d’une vie. Le cinéaste de L’Enfance nue réussit avec ce portrait du peintre à ressusciter un monde éteint. Ce film à costume échappe totalement à l’impression de reconstitution ou d’académisme. Van Gogh parle des relations entre les hommes et les femmes, de la famille, de l’art et de la France, de l’appétit sexuel. Autant de sillons que Pialat, peintre devenu cinéaste, artiste incommode du cinéma français, a implacablement creusés de film en film. Rejoignant Ford Le Massacre de Fort Apache cité dans la scène de bal et Renoir dans son souci du vrai et son lyrisme discret, Pialat ne nous a jamais paru aussi présent et intime que dans cette biographie filmée qui fait oublier toutes les autres. Van Gogh s’attache à montrer les derniers jours d’un artiste célèbre, mais c’est tout autant le portrait d’un homme en fin de parcours et une radioscopie de la société française et de ses classes, du souvenir encore douloureux des tueries de la Commune, évoquées avec beaucoup d’émotion à deux reprises dans le film. Comme il lui est reproché dans le film, Van Gogh n’est pas sympathique ». Il vit une relation ombrageuse avec son frère Théo, sans doute jaloux de son génie, à qui il reproche de laisser dormir ses toiles. Il fustige la critique, les commerçants d’art et ses contemporains. En revanche, il apprécie la compagnie des paysans et des petites gens, mais aussi des filles de joie dans les bordels, à la ville ou la campagne. Marguerite Gachet, la fille de son mécène le docteur Gachet, amoureuse de Van Gogh, dira au début du film qu’il est difficile de faire simple. On est tenté d’appliquer cette maxime au cinéma de Pialat. Conçu dans la souffrance et la colère, fruit d’un tournage émaillé de nombreux incidents et conflits, Van Gogh est un chef-d’œuvre où se succèdent les moments de désespoir et de douceur, les plages de bonheur le déjeuner dominical chez les Gachet, de sensualité et d’abandon la nuit au bordel avec les moments de doute et de violence. Pialat atteint au pictural sans jamais sombrer dans le pittoresque, au naturel en évitant les écueils du naturalisme. Jacques Dutronc est très bon mais on ne peut s’empêcher de penser à tout ce qu’aurait pu faire et donner Gérard Depardieu, l’acteur fétiche de Pialat, dans le rôle de Van Gogh. La beauté de la photographie et du cadre, l’inventivité du montage qui donne au film un rythme profondément inhabituel, l’attention de Pialat à l’existence du moindre figurant, sans parler de l’interprétation magnifique des acteurs et actrices principaux, font de Van Gogh un des titres majeurs du cinéma contemporain, une œuvre qui se sent un peu seule, hélas, dans notre époque. Comme Pialat. En 1995, Pialat retrouve Depardieu pour la quatrième et dernière fois, pour Le Garçu. Il lui demande d’être son double cinématographique, ce qui est nouveau dans leur relation. Un homme infidèle quitte sa jeune femme, mais ne parvient pas à se détacher d’elle, car il aime passionnément son fils de cinq ans et cherche à le revoir par tous les moyens. Le Garçu marque le retour de Pialat à la veine la plus autobiographique de son œuvre, dans la lignée de Nous ne vieillirons pas ensemble. Les personnages de Pialat vivent désormais dans l’aisance, l’argent est dépensé avec ostentation, mais les relations humaines sont toujours aussi conflictuelles et douloureuses. À la quête du plaisir, à la difficulté de vivre ensemble s’ajoute l’hystérie paternelle. Le film se clôt sur la mort du garçu », le père du personnage interprété par Gérard Depardieu, qui fait écho à l’agonie de la mère dans La Gueule ouverte. Le film, presque dépourvu de progression dramatique, est constitué d’une succession de morceaux de vie captés avec beaucoup de sensibilité. Ce film grave et juste, aux accents déchirants, fut mal accueilli à sa sortie par le public, qui se jugea sans doute de trop devant ces moments intimes. Quelle erreur. Pialat ne cherche pas l’impudeur, mais il atteint à la vérité des êtres et des choses. En filmant son propre fils Antoine, sentant peut-être la fin venir ce sera son dernier film, il meurt le 11 janvier 2003, Pialat se rapproche des origines du cinéma, des frères Lumière, tout simplement. Entant que célébrant de la beauté et surtout de la sensualité féminine, on a dit que "Renoir est le dernier représentant d'une tradition qui va directement de Rubens à Watteau". Il était le père de l'acteur Pierre Renoir (1885-1952), du cinéaste Jean Renoir (1894-1979) et le céramiste Claude Renoir (1901-1969). Il était le grand Au musée d’Orsay, l’exposition Renoir père et fils – Peinture et cinéma », du 6 novembre 2018 au 27 janvier 2019, nous présente, en huit sections, l’influence qu’a eu le peintre Auguste Renoir sur son fils le cinéaste. Lui-même ne déclarait-il pas J’ai passé ma vie à tenter de déterminer l’influence de mon père sur moi. » Nous pouvons voir de nombreux extraits de films de Jean Renoir où sont mis en rapport des toiles de son père et de ses amis artistes. Sont présentés également des dessins, des céramiques, des photographies, des costumes scéniques, des affiches, des manuscrits, des entretiens télévisés. Se livrer à la comparaison de deux artistes pour montrer les similitudes de leurs œuvres est un exercice délicat. Parfois on en vient à forcer le trait pour atteindre son objectif en notant des liens imaginaires. En ce qui concerne l’exposition Renoir père et fils », cette mise en relation est plus que justifiée tant de nombreux films de Jean Renoir 1894-1979 s’inspirent ouvertement de l’univers de son père, Auguste Renoir 1841-1919, et plus largement de l’impressionnisme et de l’esprit Belle Époque. Cette comparaison est à sens unique, c’est bien le cinéaste qui est comparé au peintre et non l’inverse. En matière artistique, lorsque l’on a un père célèbre, il convient d’éviter d’embrasser la même spécialité. Ainsi Jean s’est fait un nom en devenant un des plus grands cinéastes, alors qu’Auguste est un des plus célèbres peintres dans leur genre, ils sont des maîtres. Pourtant, Jean Renoir, initié par son père, a pratiqué professionnellement dans sa jeunesse la céramique dont l’exposition nous présente quelques exemplaires, des pots, coupes et vases aux couleurs fauves. Cependant, le fils ne se sentait pas légitime à devenir lui-même un artiste, car il devinait que la céramique ne serait qu’une étape avant de s’orienter vers la peinture, discipline déjà occupée par son génie de père, et, c’est pourquoi, il se tourna vers le cinéma, considéré alors comme un artisanat. En effet, le cinéma, dans les années 1920, était méprisé par l’intelligentsia, dans la mesure où les films étaient projetés dans des baraques foraines. C’est en 1915, lors d’une convalescence, à la suite d’une blessure de guerre, qu’il découvrit le cinéma et, par la même occasion, Charles Chaplin, figure décisive dans son désir de pratiquer cette activité. En se mariant, en 1920, avec Andrée Heuschling, le dernier modèle de son père, Jean Renoir note dans ses mémoires Ma vie, mes films 1974 Je n’ai mis les pieds dans le cinéma que dans l’espoir de faire de ma femme une vedette ». En effet, Catherine Hessling, son nom de scène à consonance anglo-saxonne, avait une fascination pour le cinéma américain et ses stars sophistiquées comme Gloria Swanson ou Mary Pickford. C’est pourquoi, Jean la mit en scène dans cinq films muets, à forte tendance expressionniste, dont le plus notable est Nana d’après Émile Zola. Tous ces films ne connurent aucun succès et lui coûtèrent de nombreux tableaux, une façon de financer ses danseuses que représentaient sa femme et le cinéma. Il dut attendre le début des années 1930, et le cinéma parlant, pour tourner des œuvres significatives qui allaient rencontrer un public élargi et une critique favorable, comme La Chienne 1931 et Boudu sauvé des eaux 1932, films tournés sans Catherine Hessling qui sortit ainsi par la petite porte de la vie de Renoir. Le père admiré Parmi les photos représentant Jean Renoir dans ses différents lieux de vie, nous remarquons fréquemment en arrière-fond des tableaux de son père. Malgré le fait qu’il ait mis sur le marché une grande partie des toiles de son père, dans les années 1920, il en conserva un certain nombre, mais aussi, après 1945, racheta des petits formats, les plus accessibles, dont il s’était dessaisi à regret. En revanche, le grand portrait Jean en chasseur 1910 – venu tout droit du musée d’art du comté de Los Angeles – qui représente Jean Renoir à 14 ans, fusil à la main, avec son chien à ses pieds, il ne s’en sépara jamais. En parcourant les salles, nous prenons conscience que Jean Renoir fut plongé dès son enfance dans l’environnement de la peinture, posant pour son père et côtoyant les amis peintres de ce dernier. Il éprouvait une telle admiration pour son père que celui-ci eut une influence durable sur le travail de son fils. Dans un entretien aux Cahiers du cinéma en 1979, le cinéaste ne déclarait-il pas Si certains passages et certains costumes peuvent rappeler les tableaux de mon père, c’est pour deux raisons d’abord parce que cela se passe à une époque et dans des lieux où mon père a beaucoup travaillé, à l’époque de sa jeunesse ; ensuite c’est parce que je suis le fils de mon père et qu’on est forcément influencé par ses parents. » Inspiré par la peinture La première salle est consacrée à Partie de campagne, probablement le film le plus emblématique du rapport du cinéaste avec l’univers de son père. Adapté d’une nouvelle de Guy de Maupassant et tourné à l’été 1936, le film inachevé, en raison, entre autres, de problèmes financiers et météorologiques, ne sortira sur les écrans qu’en 1946. Le tournage se déroule sur les rives du Loing, à l’endroit même où Auguste, vers 1860, peignait sur motif avec ses amis Claude Monet, Alfred Sisley et Frédéric Bazille. Dans Partie de campagne, Jean rend hommage à la nature et aux toiles de son père. Les roseaux pliés sous le vent semblent sortir de la toile d’Auguste La Seine à Champrosay 1876 ; la fameuse scène de balançoire dans le film, jouée par Sylvie Bataille, est une citation explicite du tableau La Balançoire 1876. Bien qu’il manque un élément de taille – qui est la couleur – pour restituer l’esthétique impressionniste, le film en noir et blanc y réussit tout de même à travers les costumes, les décors naturels, l’intensité des sensations captées par la caméra, les jeux de lumière, les effets d’ombre. Les promenades dans les herbes du couple Henriette et Henri, joué par Sylvia Bataille et Georges d’Arnoux, renvoient à la toile Chemin montant dans les hautes herbes 1875. D’autres films font écho aux lieux chargés de souvenirs du père et du fils. D’abord c’est le Montmartre de la fin du xixe siècle où Jean vécut ses premières années. Dans un entretien que l’on peut écouter dans l’exposition, le cinéaste se remémore le Montmartre de son enfance comme un pays de castes où une caste ne se mélange pas avec une autre caste. Dans French Cancan 1955, Jean Renoir évoque les débuts du célèbre cabaret le Moulin-Rouge, afin de rendre hommage au monde du spectacle et, par conséquent, au cinéma. A cette occasion, il s’inspira des tableaux de son père comme le Bal du moulin de la galette » 1876, mais aussi des autres artistes de cette époque, notamment Toulouse-Lautrec et l’affichiste Jules Chéret. Paysages méditerranéens L’autre lieu partagé par les Renoir était Cagnes-sur-Mer où la famille possédait le domaine des Collettes qui servira de décor au Déjeuner sur l’herbe 1959. Dans ce film, Jean Renoir rend hommage une nouvelle fois à son père en essayant d’exprimer la vivacité des couleurs et des personnages. La jupe rouge et le corsage blanc de Nénette Catherine Rouvel évoquent la toile d’Auguste Renoir peint en 1910-1912 Le Grand Arbre. Femme au corsage rouge dans le jardin de Cagnes. Alors que Partie de campagne était en noir et blanc, mais réussissait malgré tout à suggérer la couleur, le Déjeuner sur l’herbe est tourné en Technicolor, procédé qui créé des couleurs chatoyantes et saturées. La plupart du film est tournée en extérieur – comme les impressionnistes qui peignaient sur le motif – et s’attarde sur les oliviers centenaires, que peignait son père à la fin de sa vie, la beauté des paysages méditerranéens, les herbes aquatiques qui s’agitent dans le courant de la rivière et la sensualité de Nénette, une baigneuse qui aurait pu sortir d’une des toiles d’Auguste. Jean Renoir a suivi lors de sa carrière un des conseils de son père Il faut se laisser aller dans la vie comme un bouchon dans le courant d’un ruisseau », c’est pourquoi ses films, conçus en fonction de rencontres et de circonstances, appartiennent à des registres et à des genres différents qui mettent en avant ses incertitudes quant à la conduite à tenir en art comme dans la vie. Ceci est à raccorder à la fameuse phrase de La Règle du jeu 1939 prononcée par Octave, un artiste raté pique-assiette personnage joué par le cinéaste lui-même Le plus terrible dans ce monde c’est que chacun a ses raisons ». Didier Saillier Janvier 2019 Photo Photogramme du Déjeuner sur l’herbe 1959 de Jean Renoir, avec Catherine Rouvel. 4VR6iK.
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